• bonne fête à toutes les Michèle..............
    gros gros bisous

    votre commentaire
  • j'espère que vs allez bien, bon mardi
    bisous






    <script type="text/javascript"> </script>

    Ail rose

    Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

    Page d'aide sur l'homonymie Pour les articles homonymes, voir Ail.

     

    Wikipédia:Lecture d'une taxobox
    Ail rose
     Allium roseum
    Allium roseum
    Classification classique
    Règne Plantae
    Sous-règne Tracheobionta
    Division Magnoliophyta
    Classe Liliopsida
    Sous-classe Liliidae
    Ordre Liliales
    Famille Liliaceae
    Genre Allium
    Nom binominal
    Allium roseum
    L., 1753
    Classification phylogénétique
    Ordre Asparagales
    Famille Alliaceae
     Détail de la fleur

    Détail de la fleur

    D'autres documents multimédia
    sont disponibles sur Commons
    Parcourez la biologie sur Wikipédia :

     

    L'ail rose (Allium roseum) est une plante herbacée vivace de la famille des Alliaceae.

    Description [modifier]

    C'est une plante assez petite, parfois en touffe, qui forme de nombreux bulbilles. Les fleurs rose clair sont en cloches ou en coupes, groupées en ombelle lâche. Le spathe persiste en plusieurs lobes.

    C'est une plante des prés secs, des rocailles, des lieux cultivés, surtout au sud de l'Europe.

    Caractéristiques [modifier]

    • organes reproducteurs:
    • graine:
    • Habitat et répartition:
      • Habitat type: friches vivaces rudérales pionnières, mésoxérophiles, subméditerranéennes
      • Aire de répartition: méditerranéen

    <script type="text/javascript"> </script>

    1 commentaire
  • pendant mon absence, ma soeur arrive pr qq jours
    je vous laisse en cie de quizz fleurs.....
    bonne semaine
    gros gros bisous







    <script src="http://www.tela-botanica.org/client/eflore_chatin/bibliotheque/js/PlierDeplier.js" type="text/javascript"> </script> <script src="http://www.tela-botanica.org/client/eflore_chatin/bibliotheque/js/jquery/jquery-1.3.2.min.js" type="text/javascript"> </script> <script type="text/javascript"> </script>

    Alyssum cuneifolium subsp. cuneifolium Brassicaceae

    Illustration

    Classification

    Classification
    Règne : Plantae
    Famille : Brassicaceae
    Genre : Alyssum
    Espèce : Alyssum cuneifolium Ten.
    Sous-espèce : Alyssum cuneifolium subsp. cuneifolium

    Répartition

    Carte de France

     

    Noms Communs

    Alysson à feuilles en coin, Passerage à feuilles en coin

    Descriptions disponibles :

    Description de Baseflor id : 1866 - pr : 46

    Code CATMINAT
    07/3.0.2
    Idiotaxon
    Alyssum cuneifolium Ten. subsp. cuneifolium
    Chorologie
    orophyte méridional
    Inflorescence
    racème simple
    Sexualité
    hermaphrodite
    Pollinisation
    entomogame
    Fruit
    silique
    Dissémination
    anémochore
    Couleur dominante des fleurs
    jaune
    Floraison
    6-8
    Type biologique
    hros
    Formation végétale
    hémicryptophytaie
    Caractérisation écologique
    éboulis médioeuropéens, basophiles
    Indication phytosociologique
    Noccaeetalia rotundifoliae





    11 commentaires









  • alors qui suis-je ???


    bravo à GISOU 32



    HELLEBORE OU ROSES DE NOEL....

    Hellébore

    Nom vernaculaire ou
    nom normalisé ambigu :
    Le terme « Hellébore » s'applique, en français,
    à plusieurs taxons distincts. Icône de redirection
    Hellébore
    Hellébore fétide (Helleborus foetidus)
    Taxons concernés


    Le terme « hellébore » ou « ellébore » est employé pour désigner des plantes de la famille des Ranunculaceae :

    • <script type="text/javascript"> </script>

    3 commentaires







  • alors une pivoine mais laquelle????????



    pivoine officinale...

    <script type="text/javascript"> </script>

     

    Wikipédia:Lecture d'une taxobox Comment lire une taxobox
    Pivoine officinale
     Paeonia officinalis
    Paeonia officinalis
    Classification classique
    Règne Plantae
    Division Magnoliophyta
    Classe Magnoliopsida
    Ordre Dilleniales
    Famille Paeoniaceae
    Genre Paeonia
    Nom binominal
    Paeonia officinalis
    L., 1753
    Classification phylogénétique
    Ordre Saxifragales
    Famille Paeoniaceae
    Commons-logo.svg D'autres documents multimédia
    sont disponibles sur Commons
    Parcourez la biologie sur Wikipédia :
    AlphaHelixSection (blue).svg
    Symbole-faune.png
    Salmobandeau.jpg
    PCN-icone.png
    Icone botanique01.png
    P agriculture.png
    Patates.jpg
    Extracted pink rose.png

    La pivoine officinale (Paeonia officinalis) est une plante herbacée de 30 cm à 1 mètre de haut, de la famille des Paeoniaceae, originaire d'Europe méridionale et centrale.

    Le médecin grec du Ier siècle, Dioscoride, décrivit deux pivoines qu'il appela mâle et femelle, correspondant aux actuelles Paeonia mascula et P. officinalis[1]. A l'origine de la nomenclature moderne, Linné unifia toutes les pivoines connues de lui sous le nom de Paeonia officinalis avec deux variétés, feminea et mascula. Sous l'espèce P. officinalis, il regroupait ainsi les plantes actuellement dénommées P. officinalis, P. mascula et P. clusii[2].

    Cette espèce, très polymorphe, a été subdivisée en plusieurs sous-espèces :

    • humilis (Retz.) Cullen & Heywood
    • villosa (Huth) Cullen & Heywood
    • huthii Soldano 1993
    • officinalis Passal. & Bernardo 2004
    • banatica (Rochel) Soo 1945
    • microcarpa (Boiss. & Reut.) Nym. 1878

    Sommaire

    [masquer]
    <script type="text/javascript"> </script>

    Description[3] [modifier]

    La pivoine officinale est une plante herbacée, pérenne, jusqu'à 70 cm de hauteur,comportant une ou plusieurs tiges simples et des feuilles disparaissant l'hiver (géophyte).

    Les feuilles caulinaires, pétiolées, atteignent 30 cm de diamètre et sont triséquées (les divisions du 1er ordre pennatiséquées, celles du 2e ordre pennatifides). Elles sont d'un vert sombre (non glauque comme P. mascula), glabres au dessus, grises et pubescentes de poils appliqués en dessous. Les segments sont assez étroits, lancéolés.

    La tige florifère porte une fleur solitaire, terminale, comportant 5 sépales inégaux, vert rouge, persistant après la floraison et 5-10 pétales rouges de 4-8 cm, ovales. Les nombreuses étamines aux filet rouge, soudées à la base en un disque nectarifère charnu, portent des anthères plus courtes que les filets.Les carpelles au nombre de 2 ou 3, sont densément tomenteux. La production pollinique est massive (2,5 millions de grains de pollen par fleur). Les pollinisateurs sont surtout des abeilles.

    La floraison se fait durant les mois de mai-juin.

    Le fruit est formé de 2-3 (4) follicules blancs tomenteux.

    Ecologie [modifier]

    La pivoine officinale vit dans les bois et les prés, dans les montagnes du Midi, généralement sur des sols calcaires. Les clairières jouent un rôle essentiel dans la régénération de l'espèce.

    En France, on la trouve en Provence, Languedoc, Roussillon, jusque dans les Hautes-Alpes, la Lozère et l'Aveyron. Les sous-espèces se répartissent ainsi [4]:

    • officinalis, dans les Alpes de Hautes Provence
    • huthii Soldano, dans les Alpes-Maritimes, les Alpes-de-Haute-Provence, les Hautes-Alpes et le Var
    • microcarpa Nyman, dans les Pyrénées-Orientales

    La pivoine officinale est répartie dans l'ensemble de la région méditerranéenne du Portugal à l'Albanie, à la Grèce, à l'Asie Mineure et à l'Arménie. Elle atteint vers le nord les Alpes et le bassin hongrois du Danube.

    Elle est inscrite sur le livre rouge des espèces menacées.

    Utilisations [modifier]

    Au Moyen-Age, elle était cultivée dans les jardins de simples pour ses propriétés médicinales. On en faisait des amulettes contre l'épilepsie. La racine était hautement prisée comme remède anti-épileptique, accessoirement antispasmodique et narcotique. Les fleurs ont aussi été prescrites sous forme de sirop jusqu'au XIXe siècle[5].

    L'analyse biochimique a montré la présence de paeniflorine, un alcaloïde sédatif, analgésique et anticonvulsifiant qui pourrait expliquer cet ancien usage de "grand remède". La pivoine officinale contient aussi de la paenol, connue pour ses propriétés analgésiques, antispasmodiques et anti-inflammatoires[6]. Pour ne plus faire de cauchemars, les gens se confectionnaient des colliers de germes de pivoines qu'ils portaient sur eux la nuit. Jusqu'à la fin du Moyen-Ages, les pivoines n'étaient utilisées qu'à des fins médicinales et magiques.

    Les premières variétés horticoles sont apparues à la fin du XVIe siècle. Elles sont toujours cultivées de nos jours.

      <script type="text/javascript"> </script>


      4 commentaires


      Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
      Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique